Je remets les archives du GloB en ligne, pour la postérité !

Bonne exploration de mon moi passé !

- Mon moi futur.

PS: J'ai enlevé les chansons des billets qui en avaient, et j'ai remplacé par « chanson du billet: ... ». N'hésitez pas à ouvrir Spotify ou Youtube et de les lire en arrière-plan pour recréer l'expérience Glob © originale.

Ce GloB date de temps reculés. En ce temps, il n'y avait pas encore Facebook, pas encore d'ordinateurs, ni même de voitures. Enfin, à bien y réfléchir, il y avait déjà des ordinateurs et des voitures, mais il fallait les chercher loin.

Il correspondait à celui que j'étais dans les temps où j'étais en Suisse et que je me plaisais à déblatérer de choses et d'autres (enfin, principalement de rien), avec un peu tout le monde. Je l'ai tenu pendant à peu près deux ans, puis je suis allé faire des études à Paris, et j'ai changé, de telle sorte que le glob me correspondait de moins en moins, et j'ai peu à peu cessé de l'alimenter (enfin, mis à parts quelques billets qui justement en annonçaient de nouveaux dans un futur proche...)

L'échéance de mon hébergement arrive à grands pas et je ne compte pas le renouveler comme je l'ai fait les années précédentes. Ce qui signifie que le glob sera hors-ligne dans quelques jours.

Néanmoins, j'aimerais maintenir accessibles certains billets importants pour moi, ainsi que tous les commentaires et le kiwi. Et j'aimerais disposer d'un espace web sur lequel je pourrai déposer des choses et d'autres. C'est pourquoi je vais faire très prochainement une sauvegarde du glob, que je pourrai déposer en l'état sur un nouveau site que je tenterai de faire dans les mois qui suivent.

Vous avez encore quelques heures pour laisser votre patte sur cette sauvegarde historique.

Merci à tous ceux qui m'ont entouré pendant les années du glob. J'ai eu grand plaisir à lire vos commentaires et encouragements au fil des billets, et je vous doit beaucoup.

Voilà le huitième mois de prépa qui s'annonce. Voici l'heure du bilan pour le retour du printemps.

Bien sûr, j'ai fait la connaissance de personnes très sympathiques.

Bien sûr, j'aime l'ambiance qui règne à Paris.

Bien sûr, je m'amuse bien ici et avec la classe certains bons moments comme notre petite virée de ski à la Toussuire me furent fort profitable.

Mais il faut me rendre à l'évidence, le bilan penche trop vers le négatif. Ce travail harassant. Ces bruitages stupides et agaçants. Cette pression insoutenable et toujours soutenue. Le prof de maths corrigeant du jour pour le lendemain nos DM en exigeant chaque fois un volume de travail accru (ou si ce n'est le volume qui change, c'est donc sa masse volumique). Ce cochon tueur qui sans cesse me blesse.

Et tous ces résidus arboricoles jonchés de triples intégrales et autres composantes de ce que tout ce que l'homme dans sa folie scientifique a produit de plus abstrait et de plus barbare.

Je rêve de fleurs, de poésie, de philosophie, de méditation, de mers de littérature, d'océans de vie et de poissons... Pourquoi la science quand on a l'amour ?

Adieu donc brillant avenir ; adieu veau, vache, cochon, couvée ; adieu sauvetage de l'humanité ;

Je me fais anachorète des océans. Je me fais poissonnier.

J'mendierai mon poisson,
sur les routes de Suisse,
de Gstat à Saint-Moritz,
et j'dirai aux bisons :

refusez d'y aller,
refusez donc la laisse,
n'allez pas aux DS,
refusez de vous lever des l'aube surtout quand on a perdu une heure pendant le week end dernier.

(dernier vers à chanter très vite pour bien caser les syllabes dans le rythme ; ayant essayé, je peux vous dire que ça fait quelque chose comme refsezdvoulvédlaubesurtou kandonaperduneurpdenlwiken dernier.)

(comment-ça, parler à un bison n'a pas de sens ? Et la Rime, hein ? La Rime ? Vous connaissez, hein, la Rime ? On fait moins le malin, hein ? N'est-ce pas ? Non ? On fait moins le malin ? Hein ? Ouuuh... )

C'est en me levant ce matin que je le vis. Ô rage ô abreuvoir. 'Manquait plus que ça.

Je pensais que j'en avais fini avec ceux de son espèce. Mais, las ! Si tel le perfide tamanoir trapu - Myrmecophaga tridactyla - il brillait par son absence, ce n'était que pour me faire relâcher garde.

Il était pourtant subtil, étouffé, illisible, inapparent, indécelable, indistinct, infime, indiscernable, insaisissable, insignifiant, subtil, invisible, minime, minuscule voire petit. Mais vous me connaissez. Du moins, peut-être pas tous dans ce domaine mais au moins je me connais - et la question n'est pas là. Sitôt apparu, il a fallu que je le triture dans un vain espoir que je savais pourtant déçu d'avance que l'heure de son départ coïnciderait à peu près grâce à cette procédure avec celle de son arrivée. Sot que je suis... Mon intervention, ainsi que d'aucuns l'auraient prédit d'un air goguenard et triomphant, pastiche d'un m'as-tu-vu vantard à se faire lever les huées d'une foule massée sur la place principale de Strasbourg, ne fit qu'empirer la chose, ce qui ne manqua pas de rendre à l'inaperçu toute sa visibilité.

Tout semble perdu pour moi, et, me direz-vous, je n'ai plus qu'à me retirer du commerce des hommes, à croupir en anachorète reclus dans un ermitage lointain et définitif. Et vous auriez presque raison. Presque car, ne vous déplaise, je fis enfin la découverte de la substantifique moelle. Celle-là même qui de tous mes soucis déjà a fait un mauvais souvenir.

Mais je vous vois languir, et plutôt que de perdurer inutilement mon allocution, je citerai plutôt dès maintenant l'objet de mes joies. Pour enlever les boutons, rien de tel que Photoshop. La preuve.

Je vous laisse béats. Bonsoir.

PS : Je crois que personne ne remarque la subtile blague principale du billet, à savoir ce que j'ai effectivement enlevé sur la photo précédente. Je le précise donc ici : il vous faut jouer au jeu des différences.

...pourtant, si le niveau de l'administrateur est tel celui du GloB, alors le GloB ne doit surement pas remplir l'objectif 2.
Oups... Zut de zut... J'ai malencontreusement changé mon mot de passe...

PS: C'est moi qu'ai tué Kennedy.
Non, c'est lui.

... quelques jours de galère parisienne, ça vous refait un homme.

PS : Surtout depuis le Vélib'. Et mon passe navigo.

Hier soir, chers globbeurs, je m'en suis allé voir Vincent Delerm avec une connaissance à moi à Annemasse (à laquelle pour un souci d'anonymat nous affublerons le doux sobriquet "Emy"), une deuxième fois d'ailleurs étant donné que je l'avais déjà vu en d'autres temps mais pour un concert à peu près complètement identique à Paris.

Alors y'a pas à dire, c'est quelqu'un de sympathico-ironique, mais cela ne fait que confirmer ce que je savais déjà.

Non, le top, c'est la conversation que j'aie eu avec lui après, et donc voici la retransmission plus ou moins approximative.

"M - En fait, j'suis violoniste. Figure-toi que Categorie Bukowski est un des seuls trucs que je sais jouer environ convenablement au piano, donc... ben, j'te remercie d'avoir écrit un des seuls trucs que je sais jouer au piano...
V - Ah, oui... Attend qu'est-ce qui y'aurait encore de facile... Heu, Naples... et puis Modiano aussi. Naples c'est tout le temps les mêmes accords, et puis ça revient, tu les cales... Normalement en transcrivant les accords tu devrais y'arriver... Donc oui, Naples et Modiano.
M - Ah, ok, merci... Bon ben, continue bien alors... Salut, bonne chance ! M s'en va, relativement content."

Quand je dis "retransmission plus ou moins approximative", c'est que c'est plus ou moins difficile à retranscrire. Mais bon, toujours est-il que, mine de rien, c'était plus ou moins cool. Enfin, en tout cas moins banal qu'une banalité quelconque et quotidienne. Enfin, entre un clafoutis, même préparé avec amour, et un dialogue, certes bref mais intense, avec Delerm, je sais pas si j'hésite beaucoup (à débattre).

PS, oui, il y a bien marqué pour Maxim(e). Malin d'avoir dit sans "Heu... sans e" après. Mais bon, ça donne une touche d'originalité non déplaisante.

PS 2, bonus. Bon, désolé, mais ceci étant une chanson certes chouette mais totalement inédite, je n'ai pas de meilleur enregistrement, bien que le souffle pourrait laisser à supposer que Vincent donne des concerts dans des hautes en venteuses falaises. C'est juste, comme qui dirait, pour permettre aux rares personnes qui ne seraient pas allé aux divers concerts de Vincent de chanter cette chanson toute neuve et nouvelle quand même.

Dans le square
Nous aurions
Pu nous voir
Oui mais bon

Sur la place
Nous aurions
Pris une glace
Oui mais non

REFRAIN: Dans la mesure où il pleut
Et dans celle où tu me plait
Il n'y avait rien à faire de mieux
Que ce que nous avons fait

Dans la mesure où ton corps
Me fait de l'effet
Dans la mesure où dehors...
Il pleuvait.

Cirque d'Hiver

Nous aurions
Vu quelques dromadaires
Oui mais bon

Olympia
Nous aurions
Vu quelques québécois
Oui mais non

REFRAIN

Chez ta sœur
Nous aurions
Parlé des trente-cinq heures
Oui mais bon

Chez Michou
Nous aurions... (silence voulu)
Oui mais non

REFRAIN

D'aucuns se sont plaints que le glob semblait ces derniers temps dans une phase d'inactivité totale. Et oui, scoop, voilà fort longtemps que non seulement nous sommes passés à l'heure d'hiver (et avons dormi une heure de plus à la grande joie générale de moi-même), mais que de plus je suis rentré de Berlin et que mes jours ont repris des activités à peu près habituelles (c'est à dire me faisant croiser une majorité de personnes parlant un langage compréhensible par moi). Je m'en excuse honorablement. Mais je peux aujourd'hui révéler que j'étais en train de programmer une nouvelle fonctionnalité qui je l'espère fera le bonheur des grands et des petits. Le Glob entre de plein pied dans le vingt-deuxième siècle.

Car Modestement et sans cérémonie, voici venu le grand et génial kiwi.

Le kiwi, c'est l'ouverture de nouveaux zhorizons. Le kiwi, c'est le même frémissement qui agitait le globe en ce jour du jeudi 30 mars 2006 à 21:31 où Maxim créa Le Glob. Le kiwi, c'est un nouveau tout.

Le kiwi c'est une quatorzaine de pages modifiables par tout le monde. Bref, le kiwi c'est vous. Oui au kiwi ! Amusez-vous.

http://kiwi.globmax.net

Je viens de réaliser que toi, visiteur fidèle et expectatif du glob, n'a à peu près strictement aucun moyen de connaitre le lieu de rédaction des billets globbesques.

Or, je sais que tu te demandes d'où tous ces merveilleux et si délicieux billets sont retranscrits.

C'est pourquoi suite à une nouvelle et novatrice innovation sur le monde enchanté de l'enchanteur glob, tu pourras désormais, en temps quasiment réel, connaitre la location des billets qui ont été écrits en une location particulière.

Exemple: je n'ai pas tous les jours l'occasion de positer un billet depuis la ville dans laquelle s'écoulent les doux déchets de la seine bleutée. Grâce à la nouvelle technologie de globmax inc., tu peux désormais et en un coup d'œil distinguer ce billet de tous les autres avec la breve mais explicite et claire mention qu'au dessus de ces lignes tu peux d'ores et déjà apercevoir.

Tiens je viens de me rendre sur le glob et j'ai constaté avec effroi que Maxim n'avait toujours pas publié de nouveau billet et que cet état de fait durait depuis plus d'une semaine. Je me suis dit bon soyons fous et écrivons quelque chose de quelconque ou d'original, de pétillant ou d'ironique. Et puis Simon, quoique sympathique, n'a pas à avoir le privilège d'être présent pendant deux semaines sur le premier billet du glob.

Deux sujets sont disponibles pour ce billet :

• La migration des tamanoirs entre le 14 et 17ème siècle et leur influence sur le réchauffement climatique (oui, je sais, un peu facile, ça a un air de déjà-vu avec les gnous, mais je ne peux pas continuellement me renouveler)
• Que se passe-t-il ici (ici, c'est à dire où je suis et non pas où l'on me lit) ?

Je vais essayer de répondre, arbitrairement, à la deuxième.

Alors ici on peut dire que l'hiver à mon grand damn commence que les nuits se tombent et que le froid s'immice sur les semaines monotonées. Je vais même jusqu'à suspecter une relation causale entre le climat hostile du pays des raclettes et du chocolat et le rhume qui se présente en moi. Pas forcément de quoi se réjouir.

La nuit blanche à Paris l'année dernière m'a laissé un nombre de bons souvenirs assez suspect. Etant donné que (et oui je l'annonce plus ou moins officiellement ici) je vais à priori de premier abord cette fois encore me déplacer au nord, j'espère que l'essor de ce fort effort (avec passport) se fera sans remords.

Sur ce, bonne survie aux froids sibériens aux visiteurs de tous bords.

La musique du billet: Manu Chao - Sibérie

Voilà, hier j'ai ouvert une petite galerie à l'adresse http://cliches.globmax.net/. J'essayerai de rajouter des photos au fur et à mesure des évenements marquants que je traverserai (cela ne veut pas dire que je n'ai dans ma vie traversé que trois évenements marquants, seulement j'ai eu des photos sympathiques à poster pour l'instant pour ces trois là.)

PS: J'essayerai d'améliorer le système quitte à ce que ce soit moins joli, j'aimerais bien que vous puissiez commenter chaque photo. Mais pour l'instant ceci ira.

Il se trouve que David, quelqu'un de bien, le même d'ailleurs qui a remporté le premier concours, le même d'ailleurs chez qui je dors en général quand je vais a paris, a une soeur étudiante aux arts-déco à Paris, dont les diplômés ont cette année exposé leurs collections au centre pompidou le jeudi vingt-neuf dernier à vingt heures. Le mercredi un ami de cette même soeur était toujours désespérément à la recherche de deux mannequins. Voilà environ comment moi le chef globbeur s'est retrouvé par hasard mannequin éphémère, à côté d'une cinquantaine d'autres inconnues (féminin étant le genre très majoritaire).

Rien de compliqué. Quelques lentes et fastidieuses répétitions (et heures d'ennui). Savoir mettre un pied devant l'autre et recommencer. Coiffure comique et bananée à la Elvis.

http://www.dailymotion.com/globmax/video/312486 : Je suis le 4ème passant devant (oui on fait des huit c'est passionnant).

Une photo qui me fait personnellement assez peur étant donné qu'on y voit la rangée entière me scrutant scupuleusement.

Encore une petite photo.

Bon alors je préconise quelques mesures pour mesurer a sa juste valeur le nouveau statut qui s'offre à moi :

• Le glob de Maxim sera renommé en Maxim (www.maxim-le-mannequin.com) et donnera le point de vue officiel de la vie de Maxim
• Les commentaires seront bien sûr admis (le glob conserve toute la liberté d'expression qu'il préconisait à sa création) mais seuls ceux exprimant une opinion favorablement consentante seront publiés
• Que les rares personnes qui jusqu'ici ont eu le privilège de détenir mon numéro de téléphone contactent désormais mon manager pour pouvoir éventuellement me parler

Mais bien sûr je ne la célébrité ne me monte pas à la tête et je souhaite avant tout rester simple.

(Bon eh bien considérez les deux derniers paragraphes comme de tonalité ironique. Ce fut assez drôle. L'absence de la personne qu'initialement j'ai invité fut fort dommage d'autant plus que la seule invitation dont je disposais n'a finalement pas été utilisée.)

Tiens assez étonnant que la France ait gagné.

Après un léger retard involontaire de trois jours, voici enfin les réponses et résultats du concours. Bravo aux vingt participants.

Luc : 10/10
Pauline, Alice, Juliana : 10/10
Bénédicte : 10/10
Déborah : 8/10
David : 8/10
Marie : 8/10
Cécile : 8/10
Cathy : 8/10
Akurime : 7/10
Nana : 6/10
Raphaël : 5/10
Simon : 5/10
Corinne : 5/10
Marina : 5/10
Pafnow : 5/10
Juan : 3/10
Shika : 3/10
Thomas : 2/10
Isadora : 2/10
Lucio : 2/10
Ulysse : -10/10

Bravo à Luc (qui est mon frère et qui donc ne compte pas gnirag gniarg)
à Pauline avec la très légère aide de Alice et Juliana que par ailleurs je ne connais pas
et à Bénédicte qui en a trouvé neuf toute seule et qui finalement a trouvé le dernier.

Que trois personnes trouvent toutes les chansons n'est encore jamais arrivé dans la longue histoire du glob. Donc bravo surtout à Bénédicte (s'étant un peu moins aidé).

Par ailleurs, bravo à

Débo qui en a trouvé tout de suite beaucoup
David qui en a trouvé tout de suite beaucoup
Marie qui en a trouvé tout de suite beaucoup
Cécile que je ne connais pas, qui est arrivé sur mon glob par hasard, mais que je salue au cas ou elle repasserait car elle en a trouvé tout de suite beaucoup

Carthy en a trouvé pleins aussi, Anna relativement beaucoup.

La moyenne des réponses est de 6/10 (si on ne compte pas yul qui plombe la moyenne) ce qui n'est pas rien.

Raphaël Simon Corinne (que je connais puisque c'est ma mère - oui le glob est parfois très familial) Marina Pafnow vous avez accompli l'honorable score de 5/10.

Juan pour quelqu'un qui fait étalage d'une orientation musico-culturelle c'est plutôt faible. Shika c'est bien bravo bravo.

Thomas c'est moins que la première, Isadora c'est pas trop mauvais, et Lucio l'honneur est sauf.

Yul toutes mes féliciations. A propos voici les belles réponses de Yul que je poste ici :

Réponse: Alors, dans l'ordre.
1. La Marseillaise, par Didier Wampas.
2. L'Internationale, par George W. Bush.
3. Le chant des partisans, par J. Hallyday.
4. Jésus reviens, par le curé de la vie est un long fleuve tranquille.
5. Le générique de "bonne nuit les petits", par le mec qui chante le générique de "bonne nuit les petits".
6. Ne me reviens pas, par Claude François (ou pas).
7. Désirs d'avenirs, par Ségolène Royale.
8. Vos papiers !, par Nicolas Sarkozy.
9. Tiens, encore l'Internationale, mais cette fois ci chantée par Nicolas Sarkozy (encore lui !).
10. Cayenne de Parrabellum, interprété par Nicolas Sarkozy (il est vraiment partout !).
11. J'ai pas faim, par les Betteraves.
12. God Save The Queen, par les Pornographes du phonographe.
13. Les L5, mes meilleurs ennemies, par Lorie.
14. Lofteurs up and down, par la Star Academy.
15. Mon mec à moi, par Touche pas à la meuf.
16. Ugphlof, par un Extraterrestre nommé Désir.
17. La Cucarracha, par Madonna.
18. Je veux pas travailler, par Stakhanov.
19. La chanson invisible, par l'Homme invisible.
20. 28 juin 1918, par Franz Ferdinand.
Voilà, j'espère que mon lourd travaille d'investigation va être récompensé ! Je mérite au moins un -10/10 je pense ! J'espère que je l'aurai !

Bravo yul, tu as bien gagné tes points.

Il ne me reste plus qu'à vous donner les réponses que vous attendez tant...

Le son officiel :

Les chansons :

Michel Polnareff - La poupée qui fait non

ABBA - Gimme! Gimme! Gimme!

Pow wow - Le Chat

Joan Jett & the Blackhearts - I love rock'n roll

France Gall - Il jouait du piano debout

The Beatles - Love Me Do

De Palmas - Sur la route

Téléphone - New York avec toi

Edith Piaf - Non, Je Ne Regrette Rien

M - La Bonne Etoile

Visiteur, finies pour toi les heures d'attentes lasses, obnubilé par une page de mon glob en chargement... Finies les exaspérations engendrées par l'appel trop souvent réitéré de patiences pourtant bienveillantes... Finies les pertes de mémoire d'une adresse compliquée telle que http://globmax.free.fr... Car voici que cette dernière cède la place à

http://www.globmax.net !

L'adresse que tu visiteras quotidiennement n'est plus dès à présent ce qu'elle était. C'est dit, que se passe le mot et que se mettent à jour les favoris.

Toi, visiteur attentif et assidu, as peut-être pu remarquer que je n'ai rien écris ci-bas depuis le certes important jour de mes dix-sept ans.

C'est dans la nature des choses et les explications rationnelles ne manquent pas.

Une justification pourrait être par exemple le fait que j'aie eu relativement beaucoup d'actions diverses et variées et autres que l'écriture d'un billet sur le glob à accomplir.

D'autre part j'espère que tu considères que la part d'inspiration que nécessite ma personne en vue de cette écriture n'est pas négligeable et que sa présence fluctue à mes pensées, mon esprit et mes volontés.

Mais il est vingt heures deux et je prend prend finalement la décision de rédiger un nouveau billet sur mon glob, non bien sûr sans ce niveau d'appréhension qu'implique l'exigence de mes lecteurs.

Samedi soir, je me suis trouvé être, après maintes péripéties dont le contrôle m'était perdu, à Paris.

J'allai alors avec le cher David retrouvé à une soirée chez Nicolas, dont la date coïncidait d'une merveille et positive synchronicité avec celle de ce court passage à Paris. C'était sympathique, amusant, comique et drôle, je suis content d'avoir revu tout le monde.

Après un errant et mérité repos le dimanche matin, je vis consécutivement plusieurs personnes dont la brève mais intense compagnie retrouvée me fut pour le moins sympathique.

A dix-sept heures quarante, il me fallut partir retrouver un pays hostile et décadant.

Merci à toutes et à tous ceux que je vis là. Je ne peux malheureusement là voir tout le monde.