Bien le bonjour, ô toi assoiffé visiteur en quête toujours plus soutenue de nouvelles diverses ou variées en provenance de moi-même.

Je sieds actuellement en mon humble demeure bretonne. Comme vous le savez sans doute, cette zone n'était depuis peu même pas encore couverte par l'adsl (ça existe encore), et j'ai la chance de capter 1 barre sur 5 pour pouvoir poster ce message depuis mon téléphone, humble lui aussi.

Le dernier billet parlait du premier sujet du bac, ce présent billet n'entend parler du bac que très rarement et très vaguement en précisant pour les quelques quidams qui auraient pu en douter que "je l'ai obtenu", et cela depuis belle lurette d'ailleurs.

D'ailleurs, soit dit en passant, j"aimerais signaler à tous ceux qui auraient eu une mention qu'ils doivent darre darre ouvrir un compte à la CIC armés de leur relevé de note. La mention très bien rapporte quelques gracieux cent soixante euros et un voyage (dans le cas de la région parisienne); les autres mentions doivent certes rapporter un peu moins mais bon c'est toujours ça de gagné comme dirait l'autre.

Sur ce, en bretagne c'est plutôt sympathique, il fait plutôt beau, je fais moins de sauts que d'habitude (cf clichés) mais je compte m'y remettre, je fais plus de violon que ces derniers mois durant lesquels je l'ai laissé s'empoussiérer piteusement dans sa boîte (boîte certes jolie mais cela ne règle pas grand chose).

J'ai beau observer les nombreuses mouches qui pullulent ici, j'ai l'impression que leur romantique timidité les pousse une par une à renoncer à se poser au plafond en ma présence. Preuve s'il en est une de la sensibilité à la réserve de cet insecte à propos duquel je ne peux que m'indigner que d'aucuns puissent parfois utiliser le méprisant et méprisé qualificatif "à merde" dans une tentative non moins désespérée de réduire à néant l'évidence de supériorité intellectuelle tout autant que pratique du nuisible sus-mentionné.

Enfin toujours est-il que, bref, je retourne à ma lecture d'un achile talon qui a failli ne pas m'influencer du tout dans ma récente rédaction du paragraphe précédent. Ciao.