Malgré les promesses de mon précédent billet, je n'ai pas pris le temps de rédiger celui-ci plus tôt.

Il faut observer que jusqu'à présent je tiens le faible rythme d'un billet hebdomadaire, ce qui est tout de même peu. Vous me direz, et vous avez bien raison, que ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité; que j'ai déjà écrit au moins le même nombre de mots que le skyblogger moyen écrit sur son skyblog; que, au contraire de ce même skyblogger, la note que j'obtiendrais en dictée si je soumettais mon blog ne serait pas négative; et que, même si votre impatience est justifiée par le haut propos de mes écrits, il vaut mieux que le glob conserve la qualité qu'il a tenté de tenir jusqu'à présent.

Vous avez sans doute raison, et je ne peux qu'acquiecer devant tant de si bons arguments.

Pauline

Cela étant dit, le sujet de ce billet se veut porter sur une idée non abstraite, voire même une personne.

Le fait est que le samedi vingt-sept dernier était un jour faste et glorieux: le monde célèbrait la haute naissance qui avait eu lieu précisément dix-sept ans plus tôt.

Après l'avoir déclamé au téléphone, j'officialise magnanimement le commencement de la dix-huitième année de Pauline.

Alex Pauline Clara

Pauline est sympathique, comique, jolie, gentille. C'est une fille avec qui je et beaucoup de monde s'entend bien, aux stages de violon, à Paris à errer dans les rues, en bretagne à camper dans la savane, nager dans la glaciale froideur des froides eaux, planter des pâtiers qui ne poussent pas ou regarder les drons des signaux de fumée dans le ciel... En bref, Pauline est une fille bien.

C'est pourquoi je prend ici la responsabilité de te souhaiter de passer une belle dix-huitième année.

Désolé à la très grande majorité des nombreux visiteurs du glob qui peuvent difficilement saisir l'ampleur des private jokes contenues dans ce billet.