Après que se soit écoulé ce matin mon très bien-passé oral de français - et après qu'ici se soit exprimé ma reconnaissance en tous ceux qui m’étayèrent mentalement dans le labeur de quelques jours qu'il m'a récemment été demandé d'accomplir - force m'est de reconnaître non sans une certaine allégresse qu'enfin à un doux et rêveur optimisme insouciant de l'été naissant et du soleil irradiant je peux sans résipiscence aucune m'abandonner ; il va sans dire que je ne méconnais pas pour certains des quelques globbeurs que vous êtes que l’épreuve qu’il faut le reconnaître raisonnablement triomphalement j’ai traversée n’est encore que future mais ô combien fatale ; cela étant pour ma personne j’ai conviction d’avoir satisfait l’ensemble des tâches auxquelles il me devait en cette fin de classe de première d’apporter un travail non négligeable. Ainsi je vous le dit, globbeurs : branchez vos décodeurs, les vacances ne sont plus pour moi une lointaine promesse.