Malgré les promesses de mon précédent billet, je n'ai pas pris le temps de rédiger celui-ci plus tôt.

Il faut observer que jusqu'à présent je tiens le faible rythme d'un billet hebdomadaire, ce qui est tout de même peu. Vous me direz, et vous avez bien raison, que ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité; que j'ai déjà écrit au moins le même nombre de mots que le skyblogger moyen écrit sur son skyblog; que, au contraire de ce même skyblogger, la note que j'obtiendrais en dictée si je soumettais mon blog ne serait pas négative; et que, même si votre impatience est justifiée par le haut propos de mes écrits, il vaut mieux que le glob conserve la qualité qu'il a tenté de tenir jusqu'à présent.

Vous avez sans doute raison, et je ne peux qu'acquiecer devant tant de si bons arguments.

Cela étant dit, le sujet de ce billet se veut porter sur une idée non abstraite, voire même une personne.

Le fait est que le samedi vingt-sept dernier était un jour faste et glorieux: le monde célèbrait la haute naissance qui avait eu lieu précisément dix-sept ans plus tôt.

Après l'avoir déclamé au téléphone, j'officialise magnanimement le commencement de la dix-huitième année de Pauline.

Pauline est sympathique, comique, jolie, gentille. C'est une fille avec qui je et beaucoup de monde s'entend bien, aux stages de violon, à Paris à errer dans les rues, en bretagne à camper dans la savane, nager dans la glaciale froideur des froides eaux, planter des pâtiers qui ne poussent pas ou regarder les drons des signaux de fumée dans le ciel... En bref, Pauline est une fille bien.

C'est pourquoi je prend ici la responsabilité de te souhaiter de passer une belle dix-huitième année.

Désolé à la très grande majorité des nombreux visiteurs du glob qui peuvent difficilement saisir l'ampleur des private jokes contenues dans ce billet.

Salut à toi, ô joyeux visiteur

Hier, avant hier, avant avant hier, avant avant avant hier, avant avant avant avant hier, avant avant avant avant avant hier et avant avant avant avant avant avant hier, somme toute depuis mon dernier billet, des journées assez normales où la banalité se mêlait aux pollens printaniers. Quand on voit le nombre de "avant" on se dit que maxim n'écrit pas tellement sur son glob, que c'est pas très sérieux, qu'il y a des tas de gens qui aimeraient avoir un glob comme le sien et qui en fairaient un meilleur usage, et on se demande bien à quoi maxim peut bien passer ses journées puisqu'il ne les passe pas à écrire de nouveaux et délectueux billets. Mea culpa, c'est vrai, je l'avoue : ces derniers jours ni l'envie ni l'inspiration ne vinrent... Et inutile d'enrichir le glob d'un nouveau billet si ce n'est pas pour relater des mots de la plus haute importance (comme le montrent les 12 billets rédigés à ce jour).

Mais voilà, le soleil aujourd'hui revient et je réécris. Pour que mon glob ne tombe pas dans la désuétude noire dans laquelle il naquit. Dans la crainte aussi de décevoir les nombreux individus qui visitent quotidiennement le glob, en quête désespérée et perpétuelle de nouveaux savants écrits.

Ces dernières journées sont marquées par une motivation excessive pour le violon (trois heures hier), à l'heure même que je devrais avoir une motivation excessive pour bosser mes cours de français. Mais bon je vais commencer à m'y mettre. J'ai bien envie d'avoir des notes pas mal mais bon c'est tout de même compliqué. Au fait, mon oral est le vingt-deux pour ceux qui ne le sauraient pas encore, c'est tôt mais bon cela signifie aussi que à partir du 23 je serais d'ores et déjà libre de gambader, émerveillé par les prairies et les champs d'un soleil d'été parfumé de mille senteurs colorées. Ephémère et illusoire libération peut-être, mais libération tout de même.

Bonsoir.

Toi, visiteur attentif et assidu, as peut-être pu remarquer que je n'ai rien écris ci-bas depuis le certes important jour de mes dix-sept ans.

C'est dans la nature des choses et les explications rationnelles ne manquent pas.

Une justification pourrait être par exemple le fait que j'aie eu relativement beaucoup d'actions diverses et variées et autres que l'écriture d'un billet sur le glob à accomplir.

D'autre part j'espère que tu considères que la part d'inspiration que nécessite ma personne en vue de cette écriture n'est pas négligeable et que sa présence fluctue à mes pensées, mon esprit et mes volontés.

Mais il est vingt heures deux et je prend prend finalement la décision de rédiger un nouveau billet sur mon glob, non bien sûr sans ce niveau d'appréhension qu'implique l'exigence de mes lecteurs.

Samedi soir, je me suis trouvé être, après maintes péripéties dont le contrôle m'était perdu, à Paris.

J'allai alors avec le cher David retrouvé à une soirée chez Nicolas, dont la date coïncidait d'une merveille et positive synchronicité avec celle de ce court passage à Paris. C'était sympathique, amusant, comique et drôle, je suis content d'avoir revu tout le monde.

Après un errant et mérité repos le dimanche matin, je vis consécutivement plusieurs personnes dont la brève mais intense compagnie retrouvée me fut pour le moins sympathique.

A dix-sept heures quarante, il me fallut partir retrouver un pays hostile et décadant.

Merci à toutes et à tous ceux que je vis là. Je ne peux malheureusement là voir tout le monde.

Eh bien voila... Ceci est probablement le premier billet du glob que je poste en ayant dix-sept ans.

J'ai déjà exposé mes craintes et espoirs pour cette dix-huitième année de vie dans le billet précédent.

Je remercie toutes les personnes m'ayant souhaité cet anniversaire, réchauffant mon vieux coeur. Je voudrais dire à tous ceux/celles qui peut-être auraient pu être au courant et qui ne l'ont pas fait que je ne leur fais pas de reproche. Ca me gêne que vous soyez gênés alors que je ne mesure pas la reconnaissance d'une amitié au retenir d'une date, donc ne le soyez pas pour si peu.

J'ai reçu un joli appareil photo. Peut-être présage de jolies photos sur le glob.

De ma haute sagesse, à bientôt.

Eh bien voila... Ceci est probablement le dernier billet du glob que je poste en ayant seize ans.

Bilan de ma dix-septième année (car je suis dans la dix-septième et non la seizième année de ma vie, n'est-ce pas Shika ?) : Intéressant. Beaucoup de choses positives se sont passées, que je suis heureux d'avoir vécues. Assombries par les éléments négatifs de ma vie actuelle. Evasif, je sais, mais le glob ne peut dévoiler mes pensées.

Mais le monde est joyeux.

Portons l'espérance en l'année prochaine.

Champagne et musique (dédicacé à -reconnais-toi-) :

Les deux musiques du billet: Françoise Hardy - Message personnel, Isabelle Huppert dans huit femmes: message personnel.

Vive émotion : ces dernières semaines je tape quelquefois et désespérément les mots "glob maxim" dans google. Or que ne fût pas ma surprise aujourd'hui en voyant le GloB en première position dans les résultats ! Et oui, le glob a enfin été référencié sur google. Bonne nouvelle pour toi, cher visiteur : si un jour pas maladresse ta mémoire te fait défaut, et la pourtant simple adresse où tu te rends quotidiennement, avide de nouveaux posts sur le glob, globmax.free.fr ne te reviens soudainement pas, il te suffira de taper les mots glob maxim dans google pour trouver quasi-instantanément le glob.

PS: je ne ferai aucun commentaire et je ne me tiens pas pour responsable des autres sites que tu pourras trouver suite à cette recherche...

Pierre, même si je suis relativement nul avec les dates d'anniversaires et même si je suis un jour en retard parce que je ne connaissais pas la tienne, je souhaite que l'humble dix-septième année de ta noble existence t'apporte plein de joie et que soient reglés tous les problèmes que parfois tu as pu rencontrer.

17 ans c'est presque 18 ! Tout en étant plus que 16 ! Cet âge de mystères et d'exotiques inconnu qui sera vendredi, il faut le croire, aussi le mien, sera sans doute sans doute positif pour toi.

Donc franchement et en deux brefs mais ô combien lourds de sens et porteurs de vérité : bon anniversaire !

Diligeant visiteur, je te dévoile ici la synthèse de l'aboutissement d'années d'exercices harassants et impitoyables.

Non copyrightées, tu peux sans hésitations imprimer dès maintenant ces images pour les encadrer et en illustrer sans effort ta table de chevet ou un mur de ta chambre, dans le noble but de les contempler quotidiennement, dans une béatitude admirative et muette, avec stupeur et tremblements, chaque fois redécouvrant avec avidité chaque pixel de leur constitution.

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Fini, c'est fini. Elle était belle. J'étais heureux de l'avoir près de moi chaque matin. Dans mes moments de tristesse, elle était là pour me supporter. Elle me tenait chaud. A certains moments, c'est vrai, je commençais à l'oublier, et mes pensées semblaient la chasser parfois. Mais toujours elle me revenait, réelle, évidente, vraie.

Fini, c'est fini. Peut-être ne la reverrais-je plus jamais.

Et pourtant, hier matin encore, en me réveillant, sa présence me paraissait une lucide évidence. Elle avait fini par faire partie intégrante de moi-même, comme si nous deux ne faisions qu'un. Je la trouvais belle. Elle me rendait beau par sa seule présence. Et l'un sans l'autre nous n'étions plus rien.

Elle était belle. C'est fini. En un instant supprimée, annulée, effacée. Controle-alt-deletée.

C'est fini.

D'un autre côté, une crinière ça repousse.

Salut à toi, ô visiteur de mon humble glob !

Bon alors, coïncidence ou non, je viens de passer deux semaines de vacances, et aucune bribe de texte ni subtil changement n'a ocurré sur le glob depuis deux semaines. Que ceux qui s'en étonnent se rassurent: il y a effectivement un petit soupçon de quelque chose de logique dans cet état de fait.

Mes vacances:

• une super (de l'avis général de moi-même) soirée organisée par moi. J'ai quelques photos de piètre qualité. C'était fun fun fun. J'ai revu pleins de gens comiques de ferney.
• une semaine à jouer du violon avec mon grand père (pianiste retraité) en hollande (groningen).
• moins d'un jour à paris pendant lequel je n'ai, hélas, pas fait grand-chose.
• une semaine à jouer du violon sans mon grand père (pianiste retraité), mais en normandie en stage de violon. C'était fun fun fun aussi. J'ai revu pleins de personnes comiques. Je vais collecter toutes les photos possibles et en parler sur le glob.

Et me voila rentré. Malade, fourbu, fatigué, triste, c'est la rentrée. Pauvre de moi pauvre de moi.

Mais bon sympa comme vacances quand même. Rendez vous sur http://globmax.free.fr/stage dans une semaine.

Ce glob commence à être connu dans le monde entier, donc j'ai décidé de me présenter pour la minorité de terriens qui ne me connaitraient pas.

Cette présentation tentera de répondre aux principes du glob.

Pour ceux qui n'auraient pas remarqué que ce glob s'appelle le GloB de Maxim, et que ce glob est le mien, et qui n'en auraient pas fait la déduction, mon prénom se trouve être Maxim. Sans e pour les intimes, sans e pour les non-intimes non plus. Dix-sept années auront de moi été vécues en Mai. Le 5. Soit 62 jours avant le 6 juillet, ce qui est absolument inutile à savoir. Je vis en suisse depuis quelque chose comme 2-3 ans, près de genève. Avant cela j'ai vécu une douzaine d'années à Paris, j'y retourne approximativement un week end par mois.

J'ai un violon depuis une neuvaine d'années. J'ai un ordinateur depuis une huitaine d'années. J'ai un glob depuis une dizaine de jours.

Invitation à visiter ce glob en devenir.

PS: je mettrai peut-être une vague photo un de ces jours si une photo vient à ma portée.

PS2: ne cherchez pas dans ce billet un soupçon de nombrilisme. Je fais juste une brève description concise de moi-même pour ceux qui ne sont pas censés me connaitre.

PS3: commentaires autorisés et conseillés.

Alors que dehors les rayons du soleil chatouillent mes pensées...

Alors que même les habitants les plus actifs de ma maisonnée s'abandonnent à de longues flâneries...

Alors qu'en indonésie une abeille butine avec insouciance sans se douter qu'on parle d'elle dans le glob...

Moi, je reste là, enfermé, en train de déchiffrer avec avidité les bribes de notes que j'ai pu écrire dans les cours de français qu'on m'a inculqué jusqu'à présent...

Et tout ça pour un oral blanc de français.

Avis à la populace: aujourd'hui j'ai mis en ligne un nouveau design...

Je suis largement ouvert aux remarques de toutes sortes en commentaires de ce billet, sachez seulement et librement que

• J'ai passé quelques heures à adapter ce thème à partir d'un autre
• Toute observation négative provoquera mon énervement total et immédiat
• Les représailles se feront nombreuses et sans appel

Mais que bien sur ce glob respecte toutes les libertés fondamentales y compris d'expression.

Y'a déjà des geignants qui ont geint sur le fait que mon logo soit trop simpliste et orange. Donc il changera peut-être pour des teintes plus bleutées. En attendant il restera ainsi comme qui dirait.

Sinon vous remarquerez dans un subtil lien au bas de la page qu'on peut voir le nombre de visiteurs en ligne instantanément, c'est assez comique.

Merci à Stéphane pour le thème original.

Bonsoir bonsoir

Il est 21:31. De mes doigts frêles, je rédige frénétiquement un premier billet sur ce blog. Le premier. Je vais aller droit au but.

Le premier billet d'un blog, ce n'est pas n'importe quel billet. C'est un billet qui annonce, qui prédit, qui présage. C'est sur lui que reposera tout l'édifice de ceux qui lui succéderont.

Mon blog se veut:

1. Sympathique
2. Intelligent
3. Comique

En définitive, ce GloB sera une ébauche de miroir de ma modeste personne.

Bonsoir, Maxim.