Toi, visiteur attentif et assidu, as peut-être pu remarquer que je n'ai rien écris ci-bas depuis le certes important jour de mes dix-sept ans.

C'est dans la nature des choses et les explications rationnelles ne manquent pas.

Une justification pourrait être par exemple le fait que j'aie eu relativement beaucoup d'actions diverses et variées et autres que l'écriture d'un billet sur le glob à accomplir.

D'autre part j'espère que tu considères que la part d'inspiration que nécessite ma personne en vue de cette écriture n'est pas négligeable et que sa présence fluctue à mes pensées, mon esprit et mes volontés.

Mais il est vingt heures deux et je prend prend finalement la décision de rédiger un nouveau billet sur mon glob, non bien sûr sans ce niveau d'appréhension qu'implique l'exigence de mes lecteurs.

Samedi soir, je me suis trouvé être, après maintes péripéties dont le contrôle m'était perdu, à Paris.

J'allai alors avec le cher David retrouvé à une soirée chez Nicolas, dont la date coïncidait d'une merveille et positive synchronicité avec celle de ce court passage à Paris. C'était sympathique, amusant, comique et drôle, je suis content d'avoir revu tout le monde.

Après un errant et mérité repos le dimanche matin, je vis consécutivement plusieurs personnes dont la brève mais intense compagnie retrouvée me fut pour le moins sympathique.

A dix-sept heures quarante, il me fallut partir retrouver un pays hostile et décadant.

Merci à toutes et à tous ceux que je vis là. Je ne peux malheureusement là voir tout le monde.