Salut à toi, ô joyeux visiteur

Hier, avant hier, avant avant hier, avant avant avant hier, avant avant avant avant hier, avant avant avant avant avant hier et avant avant avant avant avant avant hier, somme toute depuis mon dernier billet, des journées assez normales où la banalité se mêlait aux pollens printaniers. Quand on voit le nombre de "avant" on se dit que maxim n'écrit pas tellement sur son glob, que c'est pas très sérieux, qu'il y a des tas de gens qui aimeraient avoir un glob comme le sien et qui en fairaient un meilleur usage, et on se demande bien à quoi maxim peut bien passer ses journées puisqu'il ne les passe pas à écrire de nouveaux et délectueux billets. Mea culpa, c'est vrai, je l'avoue : ces derniers jours ni l'envie ni l'inspiration ne vinrent... Et inutile d'enrichir le glob d'un nouveau billet si ce n'est pas pour relater des mots de la plus haute importance (comme le montrent les 12 billets rédigés à ce jour).

Mais voilà, le soleil aujourd'hui revient et je réécris. Pour que mon glob ne tombe pas dans la désuétude noire dans laquelle il naquit. Dans la crainte aussi de décevoir les nombreux individus qui visitent quotidiennement le glob, en quête désespérée et perpétuelle de nouveaux savants écrits.

Ces dernières journées sont marquées par une motivation excessive pour le violon (trois heures hier), à l'heure même que je devrais avoir une motivation excessive pour bosser mes cours de français. Mais bon je vais commencer à m'y mettre. J'ai bien envie d'avoir des notes pas mal mais bon c'est tout de même compliqué. Au fait, mon oral est le vingt-deux pour ceux qui ne le sauraient pas encore, c'est tôt mais bon cela signifie aussi que à partir du 23 je serais d'ores et déjà libre de gambader, émerveillé par les prairies et les champs d'un soleil d'été parfumé de mille senteurs colorées. Ephémère et illusoire libération peut-être, mais libération tout de même.

Bonsoir.